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Site internet, réseaux sociaux, newsletter, publicité… Les mots restent omniprésents dans notre quotidien. Mais pour être lu, il faut savoir rédiger pour être référencé, pour informer, pour convaincre, pour vendre… C’est là qu’entrent en jeu les codes de la rédaction web. Tous médias confondus, la qualité de l’écrit définit le succès.

Plus vous écrivez, plus vous vendez

Mettez la rédaction web au service de votre entreprise

La rédaction web en 5 points

  1. L'objectif : pourquoi écrire sur internet ? 

  2. Le contenu : trouver matière à rédiger sur le web

  3. Se faire entendre : rédaction SEO, écrire pour les machines. 

  4. Se faire comprendre : rédaction commerciale, écrire pour les clients.

  5. Conclusion : écrire, sur le web ou ailleurs, c’est un métier…

1.

Écrire sur internet,À quoi ça sert ?

Sur notre smartphone, tablette, ordinateur et même téléviseur, nous consultons des sites d’actus, de loisir, de services, des réseaux sociaux, des mails, des descriptions, des listes et des publicités. Au travail comme à la maison, concentré ou détendu, sérieux ou distrait, quelle que soit la taille de l’écran, nous lisons toute la journée. Il n’y a jamais eu autant de mots dans notre quotidien qu’à l’ère du numérique.

 

Qu’il s’agisse d’en consommer ou d’en produire, les mots rythment notre vie. Paradoxe de cette production abondante : elle nous fatigue autant qu’elle nous rassure. Si trop d’informations irritent, leur rareté devient suspecte. 

En tant que professionnel, pour vendre vos services, vous devez vous prêter au jeu de la communication, par la parole, par les mots, en ligne, envers et contre tous. Dans le brouhaha ambiant, se faire entendre est préliminaire, se faire comprendre devient primordial. 

Rédiger pour le web de manière professionnelle, c’est passer du bavardage à la démonstration, de l’écriture à la rédaction, du bruit à la musique. Cela revient à mettre toutes les chances de son côté pour sortir du lot.

2.

Trouver matière àrédiger en ligne

Vous ne savez pas quoi écrire. Vous vous interrogez sur votre pertinence quant à votre réflexion. Vous doutez même de l’intérêt de redire ce qui a été (mieux) dit 1000 fois ailleurs. Le fond, la forme, tout s’embrouille, alors dans le doute : service minimum ou abstention. 

Pendant ce temps-là, ceux parmi vos concurrents qui disposent d’un plan et d’une stratégie de communication (ou de moins d’inhibition et de scrupules) se taillent la part du lion. Il ne tient qu’à vous de changer la donne. Déjà, si tout a été dit, tout n’a pas été lu. Ce qui compte, c’est que l’information parvienne auprès du bon public. Il vaut mieux que vos clients apprennent votre existence que celle de vos concurrents. En ligne, qui ne dit rien, n’existe pas.

 

Vous cherchez un sujet ? Vos produits et services répondent à des besoins précis. Ils se présentent en toutes tailles et formes. Commencez par là, suivez ce modèle : 

à quoi ça sert / pour qui / comment ça marche / ce qu'en disent les clients / pourquoi devrait-on vous choisir. 

 

Déclinez le ensuite à tous vos services et produits, du général au particulier.

Vous trouverez des sujets pour des décennies. 

On a coutume de dire que la communication repose sur deux pieds : le bon message, au bon endroit. 

Le bon message revient à comprendre les besoins de vos clients afin de les adresser correctement. Définir en profondeur les dispositions de vos produits ou services permet d’y répondre. Enfin, l’identification d’événements déclencheurs et leur mise en scène assurent substance et réalité au message ainsi formulé. Il ne reste qu’à tisser votre message de leurs attentes.  

Le bon endroit représente les médias que vos clients utilisent. Définir les médias utiles (site, réseaux sociaux, mailing…) permet d’éviter de se disperser tout en posant les bases d’une stratégie de communication cohérente. Les médias se côtoient et entrent en interaction si on peut les utiliser à un moment donné du parcours d’achat client. Ils ne sont donc pas universels. 

 

Chaque média possède ses avantages et inconvénients, chaque format dispose de ses codes de rédaction (court, long, formel, familier, imagé, espacé, dense, professoral, collaboratif…). Le choix et le traitement d’un média exigent une compréhension de ses spécifications. 

Rédiger pour le web demande donc certaines connaissances techniques propres à l’environnement digital (SEO), d’autres techniques rédactionnelles avancées (copywriting) ainsi qu’une solide connaissance de la psychologie humaine et du consommateur.

Sortir du lot sera toujours exigeant, mais tellement satisfaisant.

Écrire sur le web, c’est un métier

3.

Se faire entendre :écrire pour les machinesavec les principes derédaction SEO

Vous pouvez présenter le meilleur texte du monde, quel que soit son format, si personne ne le voit, son utilité reste limitée.

Internet est ordonné par des algorithmes. Qu’il s’agisse des résultats de recherche Google ou Bing, ou du fil d’actualités Facebook ou d’Instagram, l’information qui se voit présentée dispose de caractéristiques bien définies. Répondre aux critères des algorithmes améliore les chances de se voir proposé/présenté auprès d’un public intéressé, c'est ce que l'on nomme le référencement

La rédaction SEO vise à la maximisation des critères connus de référencement, qu’il s'agisse de considérations techniques et contextuels. On embrasse là l’ensemble des pratiques de rédaction qui tablent sur la sélection des mots-clés, champs lexicaux et univers sémantique pertinents pour satisfaire à une requête sélectionnée. L’organisation de l’information, la structuration du texte et l’optimisation des éléments invisibles (balises, métadonnées, liens internes) complètent le tableau. 

Ces règles évoluent, mais restent, dans l’ensemble, très codifiées. Dans le cas de textes dédiés à un site internet, ignorer l’aspect SEO revient à se tirer une balle dans le pied.  

4.

Se faire comprendre :la rédaction commerciale,écrire pour les clients

Sur le site de votre entreprise, dans vos emailings professionnels, vous écrirez pour informer et/ou pour vendre, mais surtout pour convaincre. Il n’existe pas de recettes magiques pour rédiger un texte qui fait mouche, mais il existe des techniques pour provoquer des réactions.

La rédaction commerciale devrait toujours commencer avec le client : ses habitudes, ses besoins, ses aspirations, ses désirs et ses craintes.  Les caractéristiques de vos produits ou services répondent, normalement, à certains usages, conditions ou croyances. Mais ce sont les avantages qu’elles procurent qui en font des éléments incontournables. 

 

Un argumentaire de vente ne se limite en rien à un listing abscons de chiffres et d’invocations. C’est un subtil mélange de promesses et de révélations, de mise en scène et de projections. Il résulte d'une compréhension éclairée, étendue, de votre offre. 

 

Ex. : Personne n’achète un peigne pour le plaisir de se peigner. Le peigne ne sert qu’à combattre un hirsutisme peu hygiénique qui nous mettrait au ban de la société. Le peigne ne saurait se limiter à incarner un bête dispositif sanitaire élémentaire, c’est avant tout un moyen de coquetterie à fort impact social. 

 

Émotions et raison font rarement bon ménage, les premières nous dirigent plus souvent qu’à notre tour. Pensez-y dans vos copies.  

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